Cultures / L’esprit du Court souffle en janvier à Vaulx - mercredi 08 janvier 2014

3 questions à Florence Perrot-Chabert

Depuis quand participez-vous au festival, et comment ?

C’est ma quatrième année de participation. Comme l’ambiance m’a plu, je suis vite devenue assidue. Je ne rate jamais une réunion, et je suis dans la commission de coordination des jurys. on essaie de trouver le bon équilibre, par exemple au sein du jury adultes qui est composé de 12 personnes. Ce n’est pas toujours facile... Cette année, il y a 9 femmes et 3 hommes. la moitié de ce jury sera renouvelé l’an prochain.

Quoi de neuf cette année, de votre point de vue ?

Je ne connaissais pas du tout la partie scolaire du festival, que j’ai découverte avec plaisir cet automne. Je suis allée dans les écoles maternelles. J’ai été suprise du bon accueil qu’on nous a réservé. les directeurs sont souvent emballés, et dans les collèges aussi. ensuite, tout un travail pédagogique se met en place, c’est motivant pour tout le monde.

Quelle soirée attendez-vous particulièrement ?

Toutes les soirées ! en tant que coordinatrice des jurys, je vais bien sûr voir tous les films en compétition, mais je ne veux pas rater la nuit du court non plus. Je veux aussi découvrir les productions vaudaises, dont le film qui a été tourné avec un groupe de femmes adhérentes au centre social du Grand Vire. J’apprends plein de choses... C’est cela, l’esprit du festival.

Propos recueillis par F.K

Crédit photo © Marion Parent

Florence Perrot-Chabert travaille au centre social du Grand-Vire à temps partiel où elle anime des ateliers d’alphabétisation depuis 2008. Elle est l’une des chevilles ouvrières et bénévoles du festival auquel elle participe avec discrétion et efficacité.

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