Journal N°49 /
Michel Formet

De la Confédération nationale du logement (CNL) au Secours populaire, Michel Formet expérimente le bénévolat.

Un engagement qu’il ne met pas sur le même plan : “Lorsque je me bats pour les locataires, j’ai peu de satisfaction en terme de retour. Par contre, quand c’est avec le Secours populaire, je me sens utile car l’aide est immédiate et les gens sont reconnaissants. Recevoir, ne serait-ce qu’un sourire, procure du bonheur pour la journée”. Le Secours populaire, il le connaît bien, “en tant que membre du conseil d’administration du centre social Georges-Levy et aussi parce qu’il m’est venu en aide quand j’en avais moi-même besoin. Donc m’investir comme bénévole, c’est un juste retour des choses”. Touché par le sort des personnes en situation de pauvreté, il s’indigne du fait que “la communauté européenne jette des tonnes de nourriture tous les ans quand des gens n’ont ni les moyens de se nourrir, ni de se loger”. J.P