Archives / Journal N°56 - lundi 03 septembre 2012

La rentrée scolaire entre travaux, rénovation et concertation

Investir dans la construction et la réhabilitation des écoles, c’est investir dans la durée, explique d’emblée Sandra Oliver, conseillère municipale déléguée aux Travaux sur le patrimoine. Nous devons anticiper les besoins de la population qui vont en augmentant du fait de l’évolution démographique de la ville. De même, les méthodes pédagogiques changent et nécessitent des locaux adaptés”. C’est ainsi que l’enveloppe budgétaire de la municipalité consacrée aux investissements dans les écoles est conséquente. Pour le mandat actuel (2008- 2014), ces opérations représentent un coût de près de 32 millions d’euros TTC.

“C’est un choix politique du maire et des élus de conserver notre patrimoine. Nous nous efforçons de respecter le cadre environnemental pour que Vaulx-en-Velin garde son passé et son identité”, poursuit-elle. Et de citer “l’exemple typique de l’école Mistral entièrement rénovée. Nous sommes partis d’un bâtiment très vétuste qui n’était plus adapté. La restauration est un beau mariage entre l’ancien et le nouveau qui respecte la spécificité du quartier du Pont des Planches”.Commencée en 2011, la restructuration de ce groupe scolaire comprenait l’extension de la maternelle, livrée à la rentrée dernière, et la réhabilitation de l’élémentaire que les écoliers investissent en cette rentrée. De grosses opérations d’extension et de réhabilitation sont programmées en 2013 et 2014 : celles des groupes scolaires Henri-Wallon, à La Grappinière et Croizat au Sud. “Ces quartiers sont en pleine expansion, aussi bien au Sud avec le Carré de Soie qu’à La Grappinière avec la construction de petites maisons. Dans chaque cas, de nouveaux habitants s’installent et les services doivent se développer en même temps que la ville. Il est logique de repenser l’école dans des quartiers en grande mutation”, argumente la conseillère municipale. L’enveloppe consacrée aux transformations du groupe scolaire Henri-Wallon est de 7,5 millions d’euros TTC. Le début des travaux est envisagé en janvier 2013 et ils devraient durer près de 27 mois. Il s’agit de la restauration complète du groupe scolaire. L’objectif étant de rendre lisible l’école dans la nouvelle configuration du quartier La Grappinière en rapprochant les deux écoles qui sont actuellement sur deux sites différents. Deux classes seront créées en maternelle, trois classes en élémentaire. Enfin, un restaurant scolaire commun aux deux écoles va être construit. “Dans tous nos projets, il y a une démarche de qualité environnementale. Là, nous sommes allés encore plus loin, avec un objectif basse consommation d’énergie. Nous allons mettre en place un double flux pour le renouvellement de l’air. Nous allons également veiller à la bonne gestion des eaux pluviales en installant des cuves de récupération”, insiste Sandra Oliver.

A Croizat, au Sud, le démarrage des travaux est fixé à l’été 2014. Trois classes vont être créées en élémentaire. Toujours en élémentaire, les espaces extérieurs et la grande cour vont être

refaits. Un restaurant scolaire commun aux deux écoles, maternelle et élémentaire, sera construit afin de rationaliser les moyens. Et les actuels locaux du restaurant de la maternelle seront récupérés afin d’augmenter de cinq places la capacité d’accueil de l’équipement petite enfance l’Orange bleue. Le budget des travaux est estimé à 6,2 millions d’euros. “Nous avons déjà fait part du projet à l’équipe éducative, précise l’élue. A l’automne, nous rencontrerons les parents pour recueillir leur avis”. Au Village, après la livraison de la maternelle Langevin à la rentrée dernière, c’est le groupe scolaire Grandclément qui va bénéficier d’aménagements importants dont le coût global s’élève à 4,8 millions d’euros. Des travaux sont déjà en cours et devraient être terminés au cours du premier trimestre 2013. Il s’agit de construire un restaurant scolaire, pour un montant de 2,2 millions d’euros, qui permettra aux enfants de l’école d’avoir leur propre restaurant et de ne plus être obligés d’aller se restaurer à l’école Langevin. Un chantier qui a pris du retard, une des entreprises prestataires ayant déposé le bilan. “Nous avons ainsi perdu plusieurs mois pour la reconstruction du restaurant scolaire de Grandclément”, regrette Sandra Oliver. Dès cette rentrée, une consultation va être lancée avec l’équipe pédagogique autour du projet de réhabilitation du groupe scolaire Grandclément. La livraison est prévue en février 2014.

En plus de ces grosses opérations, chaque été la Ville réalise des travaux d’entretien de son patrimoine : “Nous travaillons aussi sur la maintenance du patrimoine. Au bout de dix ans, les écoles commencent à vieillir”, explique l’élue. A Gagarine au Mas du Taureau, la Ville a entrepris des travaux d’assainissement et d’éclairage, refait les sanitaires de l’école élémentaire ainsi que la clôture sur la promenade Lénine. A Curie, au Sud, la cour de l’école maternelle a été réaménagée avec la création d’espaces en enrobé et la réfection des réseaux d’évacuation des eaux pluviales. A Anatole-France (Village), les sanitaires ont été changés en élémentaire, une classe a été créée et des travaux d’assainissement ont été réalisés. A Makarenko, aux Vernay-Verchères, l’étanchéité du bâtiment a dû être reprise et des travaux d’aménagement entrepris pour l’ouverture d’une classe en élémentaire. Enfin, une cloison a été installée au restaurant de l’école Langevin.

Une part importante des interventions d’entretien des bâtiments est directement réalisée “en régie”, c’est-à- dire par les agents municipaux des services techniques. C’est le cas pour un certain nombre de travaux : “Sur 211 demandes d’interventions sur l’ensemble du patrimoine, 137 concernent les écoles, soit 65 %. Aujourd’hui, 77 % des travaux ont été réalisés, les agents ont bien travaillé, apprécie Sandra Oliver. Mais certaines demandes ont été trop tardives pour être traitées cet été. La totalité des réparations sera effective mi-septembre”. Concernant le réseau de chauffage, la Ville anticipe, et n’attend pas l’hiver pour l’entretenir.

Rentrée scolaire : des mesures pour parer au plus presse

Le gouvernement a placé la rentrée sous le signe de la refondation de l’école, en lançant une grande concertation à laquelle sont associés pas moins de vingt-deux ministères, les syndicats d’enseignants, les fédérations de parents d’élèves, les acteurs de la vie éducative et du monde économique. Avec pour objectif de rédiger un rapport qui balaiera tous les niveaux de l’enseignement général et professionnel, la formation des enseignants, le décrochage scolaire, l’orientation. A la suite de quoi, dans quelques mois, le gouvernement proposera une loi d’orientation et de programmation pour l’Ecole.

Faisant le constat que “les choix du précédent gouvernement, et en particulier la suppression de 14 000 emplois par rapport à l’an dernier, ont conduit à dégrader une nouvelle fois les taux d’encadrement des élèves”, le ministre de l’Education, Vincent Peillon, a annoncé “des mesures de réparation pour que la rentrée 2012 se passe dans les meilleures conditions possibles”.

Les mesures de la rentrée

Création de postes :

 

1000 postes de professeurs des écoles sont créés dès la rentrée. Une partie de ces postes doit permettre de favoriser l’accueil des enfants de moins de trois ans. 100 conseillers principaux d’éducation et 2000 assistants d’éducation viennent s’ajouter aux personnels déjà présents dans les établissements. 500 assistants chargés de prévention et de sécurité (APS) sont affectés dans les établissements les plus exposés. Sont aussi créés 1500 postes d’auxiliaires de vie scolaire individuels pour accompagner les élèves en situation de handicap.

Revalorisation de la formation des enseignants :

pour le premier degré, les stagiaires seront accompagnés par un enseignant expérimenté durant les six premières semaines en milieu scolaire et suivront des formations tout au long de l’année. Au second degré, ils seront déchargés de trois heures hebdomadaires pour suivre une journée de formation par semaine. L’allocation de rentrée revalorisée de 25% : cette aide de l’Etat est destinée aux familles qui ont des enfants scolarisés nés entre le 16 septembre 1994 et le 31 décembre 2006. Aide soumise à des conditions de ressources, elle s’élève à 356,20 euros pours les 6-10 ans ; 375,85 euros pour les 11-14 ans ; 388,87 euros pour les 15-18 ans. Elle concerne trois millions de foyers.

La réforme des rythmes scolaires :

 les vacances de la Toussaint, dont les dates sont communes à toutes les zones, sont allongées afin d’atteindre deux semaines du 27 octobre au 12 novembre, “pour permettre un véritable repos au cours du premier trimestre, dont la longueur est préjudiciable à l’attention des élèves”, annonce le ministère. La question plus large des rythmes scolaires va se poursuivre dans le cadre de la concertation sur la refondation de l’Ecole.

“Au-delà de la concertation, réformer en profondeur”

“Je suis favorable à toutes les concertations, car l’école va mal. Aujourd’hui, elle n’est pas en capacité de diminuer les inégalités. Au contraire, elle les renforce. Cela fait dix ans que la proportion de jeunes qui quittent le système scolaire sans qualification ne baisse pas, sans parler de la souffrance au travail des enseignants”, explique Marie-France Vieux-Marcaud, adjointe au maire chargée de l’Education. Au regard de ce bilan, plus que la concertation lancée par le gouvernement (lire ci-dessus), elle espère “une véritable reconstruction du service public d’Education nationale. Il faut revenir à une école gratuite pour tous”.

Par rapport aux rythmes scolaires, l’adjointe souhaite l’instauration d’un débat “sur la méthode et le contenu de la formation”. Selon elle, “l’organisation qui se profile, avec l’enseignement des matières dites nobles le matin, laisse entendre que celles qui seraient enseignées l’après-midi ne le sont pas. Or pour moi, toutes les matières sont nobles et il faut faire en sorte que les enseignements s’articulent entre eux”. Farouchement opposée à l’évitement scolaire, Marie-France Vieux-Marcaud défend l’idée de la mixité sociale au sein de l’école : “Si on choisit, on reproduit les inégalités”. C’est pour cela qu’elle revendique “le rétablissement de la carte scolaire. Il faut faire en sorte que les établissements ne soient pas en concurrence. Nous devons garantir l’égalité d’accès sur l’ensemble du territoire”.

Favorable “au retour à une formation qualifiante des enseignants et à la valorisation de leur métier”, elle insiste aussi, “sur la place des parents qui ont leur rôle à jouer”.

La rentrée des écoliers vaudais

Six mille cinq cents élèves du premier degré ont pris le chemin de l’école le jour de la rentrée. “Contre six mille trois cents l’an dernier, précise Marie-France Vieux-Marcaud. Nous devrions donc bénéficier de sept créations de classes avec en moyenne 25 élèves par classe”. Si le nombre d’élèves ne cesse d’augmenter avec l’arrivée de nouvelles familles du fait de la rénovation urbaine, il reste en dessous de celui de 1990, où “il atteignait six mille neuf-cents élèves qui tenaient dans les locaux, alors qu’aujourd’hui, les exigences pédagogiques nous obligent à faire des extensions et des créations d’écoles”, poursuit-elle. D’où la nécessité de consacrer un budget important aux travaux : “Nous faisons un effort budgétaire considérable pour l’extension et la rénovation des écoles sans négliger pour autant l’entretien du patrimoine des autres écoles”, insiste l’élue (lire ci-dessus). L’effort financier de la municipalité porte également sur les activités périscolaires. Créée l’an dernier, la garderie du matin va être étendue à d’autres écoles et, en fonction des besoins exprimés par les parents, pourrait concerner, par la suite, de nouveaux groupes scolaires : “Elle fonctionne à Langevin, Granclément, King et Mistral et va démarrer à Croizat et Makarenko. Nous ouvrons à partir de cinq enfants et ne dépassons pas vingt”, indique l’adjointe. L’encadrement est assuré de 7h30 à 8h20. Le coût pour les parents va de cinquante centimes à quatre euros selon les ressources. Soucieux aussi de ce que les écoliers vont avoir dans leurs assiettes, les élus et les services municipaux mettent un point d’honneur à proposer une diver- sité des menus. “20 % des produits sont bio et nous avons demandé au prestataire de renforcer le service de circuit court, c’est-à-dire plus de produits locaux”, se réjouit l’adjointe, attentive “à la bonne santé des enfants, d’où une collaboration très étroite avec le prestataire et une vigilance en matière de réglementation. C’est pourquoi, nous travaillons également avec une diététicienne”.

Favoriser l’accès aux arts

Arts plastiques, danse contemporaine ou modern’jazz, théâtre, atelier terre, tel est le contenu proposé aux élèves de primaire et aux collégiens par les ateliers Gagarine du mercredi. Un programme riche décliné sous dif- férentes formes tout au long de l’année. A l’atelier de l’Ecoin, 18 bis avenue Dimitrov, de l’élémentaire au lycée, les jeunes peuvent s’initier aux arts plastiques. Le vendredi, à l’école Langevin, il est possible de pratiquer la danse modern’jazz à partir de 9 ans. Pour tous les jeunes vaudais, pendant les vacances scolaires, des stages sont organisés avec des thématiques difféentes selon l’âge des participants. En juillet, c’est un stage poterie qui est proposé à partir de six ans ainsi qu’une colonie artistique. L’atelier terre, ouvert aux adolescents et même aux adultes, a lieu le jeudi aux ateliers Gagarine.

Ateliers dont l’équipe intervient aussi dans les écoles, dans le cadre des projets d’école, ou en activités périscolaires en arts plastiques et en danse. En juin, un grand spectacle réunit tous les participants des différentes activités, au centre culturel communal Charlie-Chaplin. Et cette année, en collaboration avec la compagnie de danse en résidence Atou, des adolescents se sont produits sur la scène de Festiv’ aux Amphis. Sans oublier la participation des ateliers Gagarine à la biennale de la danse qui se déroule cette année le 9 septembre à Lyon.

Pratique : inscriptions et renseignements à la direction municipale de l’Education. Tél. 04 72 04 80 80. Atelier Gagarine : 43 rue Ernest-Renan. Tél. 04 37 45 42 30. Début des ateliers le 19 septembre. Pour l’atelier terre, réunion d’information le jeudi 13 septembre à 18h. Inscription à partir du 17 septembre.

L’urgence : aider les élèves en difficulté

A l'heure où le gouvernement parle de refonte de l’école de la République, le maire Bernard Genin et Marie-France Vieux-Marcaud, adjointe déléguée à l’Education et à la Vie de l’enfant, tout en se réjouissant de “la victoire de la gauche qui permet d’espérer une reconstruction du service public d’Education nationale après une décennie d’attaques en règle de la part des gouvernements de droite”, interpellent le ministre Vincent Peillon dans un courrier daté du 20 août, sur la nécessité de rétablir les deux postes Rased (Réseau d’aide spécialisée aux élèves en difficulté) supprimés à Vaulx-en-Velin pour non remplacement de départs à la retraite. “La suppression de ces deux postes, particulièrement utiles dans notre commune est un très mauvais coup porté à l’ambition qui est la nôtre d’assurer aux plus défavorisés un suivi particulier permettant de lutter contre l’échec scolaire, racine du mal qui ronge nos quartiers populaires”.

Une nécessité partagée par Benjamin Grandener, directeur de l’école Langevin et représentant du Snuipp (Syndicat national unitaire des instituteurs, professeurs des écoles et PEGC) : “Au niveau syndical, on se réjouit du fait qu’on fasse une concertation car la plupart des réformes ont été imposées depuis dix ans. Mais tout est a reconstruire et pour nous à Vaulx-en-Velin, l’urgence est de pouvoir répondre aux besoins des enfants en grande difficulté. Concernant les Rased, il y a un décalage entre ce qui est écrit sur le papier et la réalité. Car les postes sont répartis sur tout le territoire vaudais et les enseignants Rased ne peuvent pas satisfaire aux besoins de toutes les écoles”.

Le dispositif “Collège au cinéma” en danger ?

Désengagement pour les uns, simple modification pour les autres... Depuis plusieurs années, le Département finance l’opération “Collège au cinéma”. Or elle a décidé, le 22 juin, de modifier sa méthodologie de financement. Le dispositif permet aux collégiens de découvrir dans les salles de grandes œuvres cinématographiques. Le maire de Vaulx-en-Velin, Bernard Genin, a rapidement regretté “la suppression des subventions aux festivals de cinéma, comme l’événement vaudais Un poing c’est court, ainsi que celle de sa participation à l’opération Collège au cinéma. Nous avons adressé une lettre au président du Conseil général, Michel Mercier, aux ministères concernés et au Centre national de la cinématographie, pour exprimer notre désarroi et notre inquiétude”. Avant de préciser que la Ville réunirait les principaux des collèges de Vaulx en cette rentrée afin “d’étudier les différentes pistes qui permettraient de compenser cette perte”.

Pourtant, du côté du Département on affirme que la modification se fait “en accord avec les principaux de collèges”. Interrogée lors de la séance publique du 20 juillet par le groupe socialiste, la vice-présidente chargée des Collèges et des Enseignements artistiques, Danielle Chuzeville, a affirmé que le dispositif et l’aide étaient maintenus. Cette dernière qui était versée en amont par le Conseil général, le serait à l’avenir après les séances et en fonction du nombre réel d’entrées enregistrées par les cinémas. “Le financement départemental, avec la nouvelle méthodologie établie, sera mis en place aux deuxième et troisième trimestre de l’année scolaire 2012-2013”, y insiste-t-on. Du coup, pour le premier trimestre de l’année scolaire 2012-2013, ce sont bien les établissements qui devront financer eux-mêmes les séances, soit environ 75 euros en moyenne par classe.

Accueils de loisirs : planning des préinscriptions

Les préinscriptions aux activités des centres d'accueil de loisirs pour les enfants ont commencé. A vos agendas.

- Samedi 8 septembre de 9h à 11h : à l’Hôtel de ville pour les accueils de loisirs à la demi-journée La coccinelle et le Nouveau Mas. Directement dans la structure, pour l’accueil de loisirs F.G. Lorca.

- Mercredi 12 septembre à partir de 14h : pour l’accueil de loisirs à la demi-journée aux Cinq continents. Démarrage des activités dans les accueils de loisirs La coccinelle, le Nouveau Mas, Les Cinq continents et F.G.Lorca, à partir du lundi 17 septembre.

Pratique : renseignements à la direction de l’Education : 04 72 04 81 01.

Inscriptions dans les restaurants scolaires

Afin d’éviter la forte affluence au guichet, les inscriptions à la restauration scolaire pour la rentrée 2012-2013 ont débuté dès le mois de juin. Il est encore possible de s’inscrire via le service de la Restauration scolaire, Hôtel de ville, 4e étage. Du lundi au vendredi, de 9h à 12h30 et de 13h30 à 16h30. Tél. 04 72 04 80 78. http:// mairie.vaulx-en-velin.net

Travaux de réhabilitation et d’extension, entretien du patrimoine, tout au long de l’été la Ville a suivi les chantiers des établissements scolaires. Présentation des opérations les plus marquantes. Et des mesures du gouvernement, en attendant les résultats de la grande concertation sur l’Education nationale.

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